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IlsâavĂšre que certains fruits et lĂ©gumes ont connu des augmentations de prix qui dĂ©passent les 60 % en un seul mois. Câest le cas, par exemple, de lâail dont les prix ont augmentĂ© de plus de 61,2 % entre mai et juin 2022. Les prix de la salade laitue ont augmentĂ© Ă©galement de plus de 36,7 % durant la mĂȘme pĂ©riode. Quant au citron, ses prix ont subi sur les marchĂ©s
SCĂNARIOSDE COMMERCE INTERNATIONAL ET DE PRIX 6.1 Oignon 6.2 Pomme de terre 6.3 Tomate 6.4 Ail 6.5 Chou-fleur 6.6 Des haricots 6.7 Aubergine 6.8 Citron 6.9 Pommes 6.10 banane 6.11 Raisins 6.12 fraise 6.13 PastĂšque 6.14 Rendez-vous 6.15 Olives 7. ANALYSE RĂGIONALE 7.1 Analyse PILON 7.2 Analyse de la chaĂźne de valeur 7.3 Politiques
ALGER- La hausse des prix des fruits et légumes constatée depuis quelques jours sur le marché est un fait "conjoncturel" du à plusieurs facteurs ont expliqué mercredi des mandataires des marc
Informationssur la situation des droits humains en Algérie. Crise; Hausse des prix des fruits et légumes : Le marché déréglé ? par AW · Publié mars 7, 2022 · Mis à jour mars 9, 2022. Abdelghani Aïchoune, El Watan, 07 mars 2022. Malgré la multitude de mesures prises, que ce soit pour agir directement sur les prix, en déstockant des quantités non négligeables ou en
Vay Tiá»n Online Chuyá»n KhoáșŁn Ngay. 24 dĂ©cembre 2009 4 24 /12 /dĂ©cembre /2009 1928 MarchĂ© des fruits et lĂ©gumes dâAttatba Tipaza Lâoffre se rĂ©trĂ©cit, les prix sâenvolent Le prix du kg de tomates varie entre 70 et 90 DA au marchĂ© de gros des fruits et lĂ©gumes dâAttatba. Les mandataires estiment que les raisons de la hausse des prix sont Ă chercher ailleurs que sur le marchĂ© de marchĂ© de gros des fruits et lĂ©gumes dâAttatba, dans la wilaya de Tipaza, affichait un certain calme en cette fin de matinĂ©e de mardi. La mercuriale est affichĂ©e sur un tableau Ă©lectronique. A lâintĂ©rieur, le dispositif de sĂ©curitĂ© paraĂźt efficace, dâautant que les camĂ©ras placĂ©es dans les multiples angles du marchĂ© permettent aux responsables de mieux surveiller les dĂ©placements des personnes. Vendeurs et acheteurs sont informĂ©s en temps rĂ©el sur les prix des fruits et lĂ©gumes. Il nâen demeure pas moins que les tractations sont de mise pour dĂ©terminer les prix et conclure les transactions. Lors de notre passage dans ce marchĂ©, le prix du kilogramme de pommes de terre locales » variait entre 25 et 36 DA ; celui de la carotte entre 15 et 25 DA ; le navet entre 10 et 20 DA ; la courgette entre 45 et 50 DA ; les choux fleurs entre 25 et 30 DA ; la salade entre 10 et 25 DA ; lâoignon sec entre 40 et 45 DA ; le poivron entre 80 et 90 DA ; lâaubergine entre 30 et 50 DA et enfin, les petits pois entre 100 et 120 des primeurs, le prix du kg de tomates varie entre 70 et 90 DA, un prix similaire Ă celui du citron. Au demeurant, les prix des fruits connaissent paradoxalement un niveau inhabituel. Lâorange importĂ©e est ainsi vendue entre 50 et 95 DA le kg, alors que celle produite localement est cĂ©dĂ©e entre 70 et 90 DA. La clĂ©mentine a aussi pris son envol, puisque son prix oscille entre 80 et 130 DA, tandis que la poire et la pomme ne se vendent pas en dessous de 120 DA au marchĂ© de gros. Je trouve certains prix corrects comme celui de la tomate, autrement les prix des lĂ©gumes sont normaux en cette pĂ©riode de lâannĂ©e », estime le directeur gĂ©nĂ©ral de ce marchĂ© de gros. Notre interlocuteur reconnaĂźt toutefois que la tension est rĂ©elle au niveau du marchĂ© des fruits Interrogez les fellahs sur les raisons de cette hausse des prix de lâorange et de la clĂ©mentine », nous de la productionPar ailleurs, lâadministration du marchĂ© de gros des fruits et lĂ©gumes dâAttatba se soucie particuliĂšrement de lâextension de son infrastructure pour faire face Ă la forte demande. Dâailleurs, elle a amĂ©nagĂ© 48 carreaux pour les mandataires et compte crĂ©er 8 autres locaux couverts. Ce marchĂ© de gros sera dotĂ© au total de 176 locaux. Du reste, il dispose de 10 chambres froides dâun volume global de 2600 m3, mais qui ne sont pas opĂ©rationnelles depuis 3 ans. Une opĂ©ration dâentretien des Ă©quipements de ces chambres froides sâavĂšre dâailleurs impĂ©rative. Les mandataires Ă©vitent ces chambres froides, car nous faisons en sorte que tout soit bien contrĂŽlĂ©. Ils craignent ainsi les inspections des produits et prĂ©fĂšrent aller ailleurs pour stocker leurs fruits et lĂ©gumes », nous dĂ©clare le responsable de ce des raisons de la hausse des prix des fruits et lĂ©gumes, un mandataire Ă©voque surtout lâabsence de contrĂŽle. Selon lui, il y a trois problĂšmes majeurs qui crĂ©ent ce phĂ©nomĂšne. Dâabord, la production est faible par rapport aux besoins du marchĂ©. Ensuite, il y a la prolifĂ©ration des commerçants de dĂ©tail qui activent dans les marchĂ©s locaux et communaux sans aucun registre du commerce et mĂȘme sans identification. Enfin, il y a lâabsence dâagriculteurs et de mandataires professionnels. » Et dâajouter La montĂ©e des prix des fruits et lĂ©gumes se produit Ă lâextĂ©rieur du marchĂ© de gros. Câest aux administrations concernĂ©es de sĂ©vir dans les marchĂ©s locaux. » En dĂ©finitive, force est de souligner que le marchĂ© de gros des fruits et lĂ©gumes dâAttatba demeure, depuis des semaines, confrontĂ© Ă une faiblesse de lâoffre. La Chambre de lâagriculture de la wilaya de Tipaza a, du reste, exhortĂ© les agriculteurs Ă sâorganiser au sein des coopĂ©ratives pour mieux dĂ©fendre leurs intĂ©rĂȘts quant Ă la commercialisation de leur El Watan MâHamedLe PĂšlerin Published by Le PĂšlerin - dans Cherchell Tipasa
Le ministre du Commerce, Kamel Rezig, a promis vendredi Ă Blida des sanctions dissuasives contre les commerçants spĂ©culateurs qui augmentent dĂ©libĂ©rĂ©ment les prix des fruits et lĂ©gumes pendant le mois de Ramadhan mus par lâappĂąt du gain rapide. Lors dâune visite inopinĂ©e au marchĂ© de gros des fruits et lĂ©gumes de Boufarik nord au premier jour du mois sacrĂ© de Ramadhan, M. Rezig a prĂ©venu les commerçants spĂ©culateurs qui augmentent dĂ©libĂ©rĂ©ment leurs prix quâils se verront saisir leurs marchandises sâils ne proposent pas des prix Ă la portĂ©e du simple citoyen. Dâun ton ferme, le ministre a ordonnĂ© aux commerçants de proposer leurs marchandises Ă des prix raisonnables, notamment celles trĂšs demandĂ©es pendant le mois de Ramadhan. SâĂ©tonnant que les prix aient doublĂ© en moins dâune semaine, le ministre a appelĂ© les commerçants Ă penser un peu au simple citoyen en ce mois sacrĂ©. APS
Les prix de certains produits de consommation se maintiennent Ă des niveaux Ă©levĂ©s, ce qui met Ă rude Ă©preuve le pouvoir dâachat des AlgĂ©riens. La filiĂšre avicole ainsi que celle des fruits et lĂ©gumes sont plus touchĂ©es par lâinflation. JusquâoĂč Ă©volueront les prix ? Câest aux spĂ©cialistes de la filiĂšre et aux pouvoirs publics de dire jusquâoĂč iront les prix ? JusquâĂ maintenant on ne voit pas le bout du tunnel dans la filiĂšre avicole. On pensait quâaprĂšs la premiĂšre hausse des prix du kilogramme de poulet quâil y allait avoir une rĂ©gulation, laquelle nâa finalement pas eu lieu », a dĂ©clarĂ© Ă TSA, le prĂ©sident de lâAssociation des consommateurs Apoce, Mustapha Zebdi. Le kilogramme de poulet a augmentĂ© de 30% en lâespace dâun mois, entre aoĂ»t et septembre, atteignant le prix de 500 dinars, contre 350 DA quelques jours avant la flambĂ©e. Lire aussi Inflation la hausse des prix est-elle une fatalitĂ© pour lâAlgĂ©rie ? JusquâĂ hier dimanche 31 octobre, le kilo de poulet Ă©tait Ă 510 DA. Selon les Ă©leveurs, la hausse des prix du poulet est due Ă lâaugmentation des prix du poussin et des aliments de volaille. Le prix du poussin a atteint 200 DA voire 230 DA, selon le prĂ©sident de lâApoce. Un prix exorbitant qui nâarrange pas les Ă©leveurs. Au point que certains ont abandonnĂ© lâactivitĂ© avicole. MalgrĂ© des propositions formulĂ©es par lâApoce, il nây a aucune rĂ©ponse », a dĂ©plorĂ© Mustapha Zebdi qui avance quelques pistes pour rĂ©sorber cette crise. Nous avons applaudi le plafonnement du prix du poussin Ă 120 DA, nous avons nĂ©anmoins prĂ©conisĂ© que la vente ne soit pas faite par des opĂ©rateurs privĂ©s. Ils auront toujours les moyens de rehausser le prix tout en facturant Ă 120 DA. Câest ce qui a dâailleurs eu lieu», a affirmĂ© M. Zebdi. LâApoce a Ă©galement demandĂ© de recourir en urgence » Ă lâimportation dâĆufs fĂ©condĂ©s, chose qui nâa pas eu lieu jusquâĂ ce jour», a poursuivi Zebdi qui dĂ©plore que certains opĂ©rateurs privĂ©s aient connu des contraintes dans cette dĂ©marche ». On ne comprend plus ce qui se passe » JusquâĂ ce jour ces contraintes nâont pas encore Ă©tĂ© levĂ©es », a ajoutĂ© le prĂ©sident de lâApoce. Pour espĂ©rer revenir Ă une situation normale, nous sommes malheureusement dans lâobligation dâimporter des poussins et de veiller Ă avoir un nombre suffisant de poules mĂšres », a exhortĂ© M. Zebdi. Les acteurs de la filiĂšre avicole et particuliĂšrement le comitĂ© interprofessionnel sont censĂ©s fournir un Ă©tat des lieux juste et clair avec des solutions aux pouvoirs publics. Ils ont un rĂŽle important Ă jouer. Le fait quâils ne rĂ©agissent pas en temps opportun ne fera que compliquer la situation », estime Mustapha Zebdi. La filiĂšre fruits et lĂ©gumes est Ă©galement sous les feux des critiques de lâApoce. Les prix nâont pas baissĂ© malgrĂ© les derniĂšres annonces des pouvoirs publics relatives Ă des sanctions exemplaires 30 annĂ©es de prison Ă lâencontre des spĂ©culateurs. En toute sincĂ©ritĂ© en tant quâassociation nous avons le ras le bol de toujours suivre ce dossier et de faire des propositions. Il ne faut pas laisser les choses empirer jusquâĂ ce que la situation Ă©chappe au contrĂŽle », sâoffusque Zebdi. Le cas de la pomme de terre suscite lâincomprĂ©hension du prĂ©sident de lâApoce. MalgrĂ© les dĂ©stockages il y a quand mĂȘme une hausse des prix. Cela ne rĂ©pond Ă aucune logique Ă©conomique», sâinsurge notre interlocuteur. Le gouvernement a annoncĂ© un prix rĂ©glementĂ© de 50 DA le kilo de pomme de terre saisie. Sur les marchĂ©s, le kilo de ce tubercule est cĂ©dĂ© Ă 120 DA, voire plus. On ne comprend plus ce qui se passe. Il nây a aucun Ă©tat des lieux prĂ©cis sur la situation. Ou bien les informations qui sont fournies sont fausses oĂč il y a dâautres paramĂštres imperceptibles pour nous et contribuant Ă lâinstabilitĂ© du marchĂ© », conclut Zebdi. Les derniers articles
AlgĂ©rie â Le marchĂ© des fruits et lĂ©gumes observe une nouvelle fois une flambĂ©e des prix qui met le citoyen dans une situation de doute et dâinconfort. Voici les dĂ©tails juste en-dessous, ce 10 dĂ©cembre 2021. Et câest reparti pour un tour ! Au fait, la chertĂ© de la vie exaspĂšre au plus haut point les citoyens en AlgĂ©rie qui se retrouvent Ă nouveau confrontĂ©s Ă une augmentation de prix, pas vraiment justifiĂ©e, des fruits et lĂ©gumes. Câest du moins ce quâa soutenu le mĂ©dia arabophone Ennahar dans sa prĂ©cĂ©dente Ă©dition de cette rĂ©alitĂ© palpable. Chez les commerçants dĂ©taillants, les prix des lĂ©gumes affichent dâimportantes hausses. Il est devenu presque impossible de sâacquitter de ces aliments. Qui sâavĂšre ĂȘtre pourtant essentiels dans les cuisines algĂ©riennes. Ă lâexemple du prix de la tomate qui atteint les 200 DA le kilogramme. Alors que son prix ne dĂ©passait pas les 100 DA. En outre, le prix des navets et des carottes sur le marchĂ© varie entre 60 et 80 dinars. Tandis que le prix de la pomme de terre a atteint les 80 DA le kilogramme. Les haricots verts ont eux atteint les 150 DA. Les consommateurs ont Ă©tĂ© outrĂ©s de voir les nouveaux prix des fruits et lĂ©gumes. Zoom sur les prix du marchĂ© Dâautres lĂ©gumes sont proposĂ©s Ă des prix jugĂ©s exorbitants. Il sâagit notamment des oignons dont le prix affichĂ© est Ă 60 DA le kg. La courgette est commercialisĂ©e entre 120 et 140 DA. Quant aux concombres et la laitue, leur prix est fixĂ© Ă 100 DA. Pour ce qui est du poivron, son prix sâĂ©lĂšve Ă 100 DA. Les fĂšves oscillent entre 160 et 180 DA le fruits non plus nâont pas Ă©tĂ© Ă©pargnĂ©s par cette hausse. Les oranges se vendent entre 120 et 140 DA. Pareil pour les mandarines dont le prix atteint les 200 DA le kilogramme. Les bananes nâen parlons pas. Elles sont cĂ©dĂ©es Ă 300 DA. Les dates varient entre 400 et 650 DA. Deglet Nour se commercialise entre 500 Ă 750 viandes blanches et rouges sont Ă©galement hors de prix. Le poulet sâĂ©lĂšve entre 420 et 450 DA. Alors que le prix dâun plateau dâĆufs est vendu Ă 450 DA.
Plusieurs spĂ©culateurs profitant de lâafflux des citoyens sur les marchĂ©s des fruits et lĂ©gumes et les produits de large consommation en raison de la propagation de la pandĂ©mie du coronavirus en AlgĂ©rie, ont fait monter les prix de deux, voire trois fois plus le prix rĂ©el des produits. En effet, en plus de la panique créée par le coronavirus, les citoyens sont choquĂ©s par la flambĂ©e des prix de plusieurs produits de large consommation. Une flambĂ©e causĂ©e principalement par les spĂ©culateurs qui voient dans la conjoncture actuelle une opportunitĂ© pour le gain facile. Aussi, les citoyens qui se ruent vers les centres commerciaux, crĂ©ent des pĂ©nuries qui engendrent des hausses dans les prix. Et ce, juste aprĂšs lâannonce par le gouvernement des mesures prĂ©ventives contre la propagation du virus Covid-19. Comme on peut le constater sur les plus grands marchĂ©s de gros, plusieurs fruits et lĂ©gumes ont vu leur prix doubler, voire tripler comparativement Ă la vielle. D'autres ont connu une augmentation de 20 Ă 50 dinars sur le marchĂ© de dĂ©tail, notamment les produits les plus prisĂ©s comme la pomme de terre, qui est passĂ©e de 35 dinars sur les marchĂ©s de gros pour atteindre 75 dinars le kilogramme. La spĂ©culation des uns et la ruĂ©e des autres A noter que le prix d'un kilogramme de poivron a atteint 150 dinars le kilogramme au prix de gros, alors qu'il ne dĂ©passait pas les 100 dinars deux jours auparavant. C'est le mĂȘme topo avec diffĂ©rents lĂ©gumes comme la carotte qui a atteint les 50 dinars, la courgette dont le prix de gros affiche 60 dinars. Il faut dire aussi que mĂȘme les lĂ©gumes secs ont connu la flambĂ©e, enregistrant des hausses variant entre 10 et 30 dinars pour chaque kilogramme. Par ailleurs, l'Association pour la protection et l'orientation du consommateur et son environnement APOCE a mis en garde les vendeurs contre la spĂ©culation des prix des produits de large consommation et des denrĂ©es alimentaires. Son prĂ©sident, Mustapha Zebdi, a appelĂ© Ă des sanctions sĂ©vĂšres contre tous ceux spĂ©culent sur les prix en AlgĂ©rie. Il a par ailleurs invitĂ© les consommateurs Ă ne pas crĂ©er la pĂ©nurie en gardant leur calme et en faisant leurs courses comme Ă leurs habitudes. Lire aussi Alerte Tebboune annonce de nouvelles mesures contre le Coronavirus
prix des fruits et légumes en algérie